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Un commentaire critique des Révoltés de Saint-Domingue

Publié en 1994, Les Révoltés de Saint-Domingue, une histoire de l’auteur Bertrand Solet, est un roman historique pour la jeunesse qui raconte les révoltés des esclaves sur l’île de Saint-Domingue (d’aujourd’hui Haïti) entre 1791 et 1803.  Cette oeuvre offrit une image complète des temps, inclusivement l’évolution des conditions de la révolution dans la France et l’Haïti simultanément et la rivalité entre les pouvoirs globaux pour les possessions coloniales.  L’histoire commence au moment que l’Haïti est gouverné par une classe des planteurs français et représente la perle de l’empire, un centre pour la production des denrées comme la canne à sucre et le cacao.  Cette économie compte sur l’esclavage et un système social où les blancs dominent les noirs, une situation qui se détériore rapidement dans le texte de la première révolte des esclaves en août 1791.  Dans ces événements, le personnage principal est Mango, un jeune esclave fictif qui joint la révolte et fait finalement une connaissance avec l’autre personnage principal, Toussaint Louverture.  Toussaint était le chef réel des noirs qui a négocié l’affranchissement des esclaves en 1792 et a organisé les révoltes subséquentes quand la France est rétablie l’esclavage en 1800.  Par les figures de Mango et Toussaint, les lecteurs voient le cours de la lutte de l’indépendance de l’Haïti assorti avec quelques intrigues plus mineures comme la romance, la magie, et le meurtre.

L’auteur d’une cinquantaine ouvrages, en particulier des romans historiques pour la jeunesse comme Les Révoltes de Saint-Domingue, Solet a combiné très habilement le réel et la fiction pour faire un roman éducatif et, à la fois, aussi intriguant pour les jeunes lecteurs.  Cette œuvre présente son style caractéristique, une attention au contexte historique des événements en même temps qu’il les anime avec l’interaction des héros et des vilains réels et fictifs.  Dans ce cas, le personnage principal, Toussaint Louverture, est un peu des deux, un individu historique et un héros glorifié dans le mythe national de Haïti.  Ce perspectif est évident dans la manière que Solet le représente comme un homme qui est invincible en corps et en esprit.  Par ses descriptions,  on y voit une figure grande et imposante dont les caractéristiques nobles sont aussi formidables que sa taille. L’armée française essaie continuellement de le vaincre, mais Toussaint est trop ruse et il apparaît un héros qui a gagné la liberté pour les esclaves et a transformé la structure sociale de l’île.  Cependant, en réalité, Toussaint était de petite taille, malingre et contrefaite. En plus, il était très ambitieux et donc, << l’affranchissement des esclaves n’était pas sa première priorité. >> (Mme Duperron). Mais, Solet transforme cette image de Toussaint de créer un personnage qui fait un impact plus grand sur les esprits de la jeunesse et les donne un héros de respecter et idéaliser, une fonction que le jeune rebelle Mango satisfait aussi.  Certainement, touts romans ont besoin des vilains aussi, ici l’avide et impitoyable lieutenant Varenne qui n’inspire pas faire confiance. Pendant le cours du roman, il complote contre les bons personnages, il essaie de tromper tout le monde et il essaie de tuer Mango. Il fait toutes les choses qu’un jeune lecteur n’aimera pas et Solet utilise ce personnage pour monter la tension et l’intrigue dans le roman et mettre l’accent sur la lutte entre le bien et le mal. Cette idée est toujours fascinante pour les enfants et aide d’influencer leurs sens de la moralité.

Dans le cadre de la culture française, Les Révoltés de Saint-Domingue, et la figure de Toussaint particulièrement, reflètent un thème populaire, le mythe du héros résistant.  Un produit d’abord au dix-neuvième siècle, ce mythe est l’un des personnages qui se soulèvent pour la défense de la nation et dont ses vies sont définies par le sacrifice pour le mieux-être.  La représentation de Toussaint est évocatrice de ce prototype, un individu de la légende qui apparie plus grand que les hommes ordinaires.  Pendant Toussaint travaille d’assurer la liberté des noirs, des jeunes lecteurs de ce roman gagnent un sens des valeurs qui sont centrales de l’identité française, les idéals de l’égalité et la fraternité qui comportent le legs de sa révolution.  Dans ce respect, cette oeuvre aide la jeunesse de devenir familier avec la chronique de son peuple, particulièrement quand ils apprennent l’effet de la révolution en France sur les groupes comme les esclaves en Haïti.  Le roman offrit une vue compréhensive de l’île aussi avec les petites images de la culture des esclaves comme le vaudou et la structure sociale qui font les lecteurs plus intimes de ce monde.   Pour les étudiants de la langue française, les avantages de cette histoire sont semblables tel qu’une appréciation des idées qui émergent à ce moment et font une influence continue en aujourd’hui pour la France et le monde.  Le roman est véritablement une introduction de l’idéologie et les événements de la période de Napoléon et les luttes en Haïti et révèle une ressource très précieuse.  De temps en temps, la langue est stimulante et le vocabulaire est un peu ambitieux pour les étudiants débutants, mais les aventures de Mango et les autres inspireront l’intérêt et deviendront un passage significatif d’une époque de la révolution pour deux pays et deux peuples très différents.


Les références

Medez, Fanny.  « Bertrand Solet : la symbiose de la fiction et du réel au service de l’humanité » http://www.univ-lille3.fr/jeunet/auteurs/solet02/sommaire.htm

Solet, Bertrand.  Les Révoltes de Saint-Domingue.  Castor Poche Flammarion, 2004.

« Toussaint Louverture (1743-1803) » http://www.upmf-grenoble.fr/Haiti/Toussaint.htm