La Une de février: Difference between revisions
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Le 22 janvier les étudiants du premier et du deuxième semestre se sont réunis pour faire une excursion dans le Gers, département voisin de Toulouse. Nous avons bien vécu la culture gourmande française, grâce à un repas de foie gras et de garbure suivie par une dégustation d’Armagnac et de floc. | Le 22 janvier les étudiants du premier et du deuxième semestre se sont réunis pour faire une excursion dans le Gers, département voisin de Toulouse. Nous avons bien vécu la culture gourmande française, grâce à un repas de foie gras et de garbure suivie par une dégustation d’Armagnac et de floc. | ||
[[Image:Armagnac_tasting.jpg|La dégustation de l'Armagnac]] | |||
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Le 9 et 10 février à 19h30 et le 11 février à 20h30 au TNT, 1 rue Pierre Baudis. Tarif étudiant/jeune : 8€. Tel : 05.34.45.05.05. | Le 9 et 10 février à 19h30 et le 11 février à 20h30 au TNT, 1 rue Pierre Baudis. Tarif étudiant/jeune : 8€. Tel : 05.34.45.05.05. | ||
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Latest revision as of 11:37, 27 June 2005
- Musique :
Raduza « âme slave, fougue italienne »
« Venez découvrir le charme slave mâtiné d’un soupçon de gouaillerie latine de cette brunette jonglant entre guitare et accordéon. Raduza, issue du conservatoire, compose et écrit, y compris des cantates. Elle est en Tchéquie l’une des figures de la musique alternative, et s’est déjà produite en première partie de Mike Oldfield et Suzanne Véga. Sa fraîcheur et son vigoureux tempérament au service d’un répertoire mixant airs traditionnels, envolées jazz et touches folksongs font grand effet. »
Le 8 et 9 février à 21h30 au Bijou, 123 avenue de Muret. Tarif étudiant/jeune : 8€. Réservations conseillées. Tel : 05.61.42.95.07.
- Les activités du Centre Dickinson – février
2 au 6 – voyage à Paris, étudiantes du 2e semestre
12 – spectacle de danse Solo for Two, R.V. 20h30 au TNT
15 – réception du début de l’année scolaire au Centre Dickinson à 18h30
- Danse :
Körper de Sasha Waltz
« Sous une immense vitre transparente, des hommes et des femmes en slip couleur chair se glissent. Reptation des corps qui s’imbriquent les uns dans les autres pour composer un magma grouillant. Cul par-dessus tête, visage, ventre, cuisse mêlés sans plus savoir à qui appartient tel sein, telle main. Ce tableau de chair vivante, où l’identité de chacun se perd dans l’éclatement des morceaux, a l’impact d’un uppercut au ralenti. Cette scène, parmi d’autres aussi stupéfiantes, signe Körper (« corps », en allemand), cette pièce de la chorégraphe allemande Sasha Waltz, qui, en quelques années est devenue la coqueluche de la danse européenne. Non sans raison. Körper, fresque d’une beauté glaçante et morbide, témoigne de la puissance d’inspiration de cette jeune femme. »
Le 6 février à 16h00 et le 7 février à 20h30 au TNT, 1 rue Pierre Baudis. Tarif étudiant/jeune : 8€. Tel : 05.34.45.05.05
- rencontres / débats / concerts / lectures
vu(es) d’ailleurs : peut-on penser dans les écarts ?
« Voir d’ailleurs, et ne plus voir de même. Voir ailleurs, et ne plus voir le même. Se tenir dans ces lieux un rien décentré qui permettent au regard comme à la pensée d’ajuster les perspectives, de nuancer les contrastes et de rendre plus chatoyantes les couleurs. Une histoire de points de vue, donc, que la librairie Ombres blanches et le Théâtre Garonne vous invitent à partager, discuter, débattre une semaine durant autour de cette question : peut-on penser dans les écarts ?
Au long de cinq soirées thématiques au cours desquelles philosophes, historiens, psychanalystes ou poètes donneront à entendre une parole singulière, tandis que concerts et lectures ponctueront les débats dans un théâtre aménagé pour l’occasion en café. Une semaine pour voir, sentir, penser ailleurs, mais non pas n’importe où. Ailleurs exactement. »
Du 5 au 12 février au Théâtre Garonne, 1 avenue du Château d’eau. Entrée gratuit. Réservations souhaitables, au 05.62.48.56.56. Les brochures avec la programmation complète ainsi que les descriptifs des éléments de chaque soirée se trouvent dans le foyer étudiant.
- Section Restos :
La Sandia : cuisine traditionnelle mexicaine. Recommandé par Laura, il y des margaritas mortelles à 4,50€, des entrées assez grandes à partager à deux à 5-6€, et des plats de 9-15€. Un service très sympa et authentique. 8, rue Palaprat.
Mami-Wata : cuisine des Antilles et d’Afrique. Jusqu’à présent inconnu à la direction, tentez-le et venez nous voir et partager avec nous vos impressions. 25, rue Héliot.
- Voyage dans le Gers
Le 22 janvier les étudiants du premier et du deuxième semestre se sont réunis pour faire une excursion dans le Gers, département voisin de Toulouse. Nous avons bien vécu la culture gourmande française, grâce à un repas de foie gras et de garbure suivie par une dégustation d’Armagnac et de floc.
La dégustation de l'Armagnac
Un déjeuner gras dans "les Ducs de Gascogne"
- Exposition :
L’atelier de Jean-Dominique Fleury
« Depuis le XIIe siècle, une longue tradition de peintres-verriers crée des signes de lumière pour le plus grand nombre ; œuvres qui témoignent de la sensibilité de chaque époque au cœur des cathédrales, abbayes, églises, édifices civils. Créateur, peintre de son temps, le maître-verrier se situe au cœur des signes : ceux qu'il crée lui-même, ceux de ses prédécesseurs qu'il pénètre pour les conserver, les restaurer, afin de leur rendre leur message original, les signes enfin des peintres de son temps dont il traduit les œuvres. Maître de la couleur et de la lumière variant au gré du jour, de la saison, de l'orientation, il connaît le subtil équilibre des répartitions colorées qui vont réchauffer ou refroidir, éclairer ou ombrer une architecture. Le vitrail de Jean-Dominique Fleury témoigne bien de sa propre expression dans notre temps, signes proposés au passant pour un moment de rêve.
Diplômé de l'École supérieure des métiers d'art de Paris, Jean-Dominique Fleury a restauré les prestigieux vitraux des cathédrales de Narbonne et Toulouse (St. Etienne), et à Fleurance les magnifiques œuvres de Arnaud de Mole, le célèbre peintre-verrier du sud de la France au XVIe siècle. À Conques, durant huit ans, il crée sur les maquettes de Pierre Soulages, les 105 baies de l'abbatiale ; et à Notre-Dame de l'Arche d'Alliance à Paris, il réalise les verrières sur la conception de Martial Raysse. »
Note : Pour les étudiants du premier semestre qui ont visité l’Abbaye de Conques, c’est Jean-Dominique Fleury qui en a réalisé les vitraux d’après les dessins de Pierre Soulages. De plus, l’atelier de Jean-Dominique Fleury se trouve aussi à Toulouse.
Du 3 février au 26 mars à l’Espace Ecureuil, 3 place du Capitole. Entrée libre et gratuite. Ouvert du mardi au samedi de 12h30 à 19h30. Tel : 05.62.30.23.30
- Théâtre :
Le noir vous va si bien
Mise en scène Anne Bourges
« Après avoir tué ses 5 premiers maris à seule fin d’hériter, Lady Kalfayan est très très riche. Après avoir tué pour la même raison ses 6 premières femmes, John Mc Lesby l’est tout autant. Attirés par leurs fortunes respectives, les deux monstres s’épousent… bien décidés à écourter au maximum la vie en commun. La suite… un festival à la fois drôle et glaçant tant l’absence de morale des deux « héros » est patente et un régal de mise en scène tant ce combat s’apparente à une danse de mort entre deux diables de haute volée. »
Du 25 janvier au 5 février à 21h00 tous les jours sauf les dimanches et lundis, au Théâtre du Grand Rond, 23 rue des Potiers. Tarif étudiant/jeune : 8€. Il faut absolument réserver au 05.61.62.14.85.
- Poésie algérienne
Rencontre-débat avec Abdelmadjid Kaouah autour de Poésie algérienne francophone contemporaine
« Abdelmadjid Kaouah est né à Ain Taya, près d’Alger, en 1950. Journaliste et poète, il est spécialiste de la poésie algérienne de langue française. Son premier recueil, Par quelle main retenir le vent paru en 1986, évoque ce qu’aurait pu être l’Algérie si les poètes avaient eu la parole. La violence qui a frappé son pays dans les années 90 l’a poussé à l’exil dans le sud de la France. La poésie algérienne de graphie française, selon la formule de Jean Sénac, a été aux avant-postes du combat algérien. Tantôt ténue, délicate, à l’image des tapisseries traditionnelles, tantôt vociférante et éclatée, tel un oued en crue, elle a accompagné les douleurs et annoncé les orages historiques. Poésie de résistance et de transition, elle a maintenu sa vigueur en dépit des oracles qui la vouaient au dépérissement au lendemain de l’Indépendance. Mais, dans les années 90, les poètes ont payé un lourd tribut à la barbarie. Par-delà les générations, cette anthologie réunit ces poètes connus ou à découvrir qui on fait de la langue française l’outil d’un dialogue nuptial entre les deux rives de la Méditerranée. »
Le 23 février à 18h00 à la librarie Ombres Blanches, 50 rue Gambetta. Tel : 05.34.45.53.33. Entrée libre et gratuite.
- Sortie culturelle de février : danse
Cap'Danse: Festival de danses urbaines de Toulouse
« « Solo for Two » met en scène avec humour deux personnages réunis pour le meilleur et pour le pire - Niels et Storm - qui, tour à tour acrobates, funambules ou automates, se plaisent à circuler à contre-sens de la ville et de la vie… Sans oublier la musique électronique et le jazz, histoire d'électriser totalement cette incroyable composition. Storm signe ici un premier solo déroutant où il exploite toutes ses capacités de danseur et de chorégraphe, où il joue avec sa propre image en projection vidéo et s'adjoint malicieusement un double par images interposées.
Créé en 2003, le but de Cap’Danse est de montrer au public la vitalité et la créativité de la planète Hip-Hop, et d’impulser la rencontre d’artistes issus d’expressions chorégraphiques académiques et urbaines. Des troupes de danseurs amateurs du Grand Sud ont ainsi la possibilité de se produire en première partie de spectacle et de partager la scène avec des compagnies de notoriété internationale. »
- Théâtre :
Ajax de Sophocle mise en scène Bérangère Jannelle
« Ajax, probablement la plus ancienne des tragédies conservées de Sophocle, nous met en présence de héros dont les décisions se prennent encore sous le regard des dieux. Le poète situe son action à la fin de la guerre de Troie. Achille est mort au combat. Les Atrides – Agamemnon et Ménélas – ont évincé Ajax, le guerrier le plus digne de lui succéder, au profit d’Ulysse. Humilié par cette trahison, Ajax sombre dans la folie au point de vouloir assassiner ses « frères ennemis » : Ulysse et les chefs Atrides. La déesse Athéna détourne son bras mais, retournant sa violence contre lui-même, Ajax se suicide.
L’enchaînement des vengeances familiales et claniques pourra-t-il être rompu ? La Cité parviendra-t-elle à faire le deuil de ses héros disparus ? Pourra-t-elle conjurer une violence héritée de la guerre fondatrice ? Telle semble être une part de l’énigme que Sophocle livrait aux Grecs du Ve siècle avant notre ère : un temps où le chant du poète allait remplacer les sacrifices des prêtres. Un temps où ils inventaient tout à la fois la démocratie et le théâtre. Dans la tension entre le passé des mythes et le présent de la cité surgissait la conscience de l’homme tragique. Face aux violences de notre planète, Bérangère Jannelle nous invite à écouter cette interrogation tragique dans une nouvelle traduction. »
Le 9 et 10 février à 19h30 et le 11 février à 20h30 au TNT, 1 rue Pierre Baudis. Tarif étudiant/jeune : 8€. Tel : 05.34.45.05.05.