Septembre 2006: Difference between revisions

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:Se réveiller à six heures et demie un samedi matin, c’est le rêve de chaque étudiant, n’est-ce pas ? En fait, c’est ce qui nous est arrivé à nous, les étudiants de Dickinson en France, le week-end du 9 septembre, quand nous sommes allés à Conques et Cordes-sur-Ciel pour une « découverte de la région et du terroir de Midi-Pyrénées ». Ce qui est très intéressant de voir à Conques, c’est que le petit village prend la forme d’une coquille, et c’est à Conques où l’on trouve l’Abbatiale Sainte-Foy, un centre de pèlerinage depuis le huitième siècle. Après avoir fait une sieste dans le bus, nous sommes arrivés à Conques, où l’on a commencé une « balade » pour découvrir les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passent autour de Conques.
C’est ici où il me faut m’arrêter quelques instants pour expliquer l’idée que j’avais dans la tête de ce qu’était une « balade. » Chez moi, une balade impliquait une petite promenade, et ce qu’on a fait à Conques n’était pas une petite promenade. C’était plus proche d’une marche à pied sur un chemin très escarpé. Imaginez une femme américaine un peu paresseuse, qui n’a pas beaucoup dormi parce qu’elle est sortie la veille avec sa mère d’accueil, en train de se rendre compte que son idée d’une balade n’était pas en accord avec celui du reste du monde. J’imagine que c’était drôle pour mes amis, ceux qui n’étaient pas comme moi à chercher à reprendre leur souffle. 
Malgré cela, la vue de la montagne sur Conques était magnifique, et après avoir fini la balade, je me sentais vraiment fière d’avoir fait quelque chose de tellement difficile. De plus, j’ai sept photos d’exactement la même vue que j’ai prises pendant la descente de la colline. À 17h00, nous avons quitté Conques avec quelques kilos et quelques euros en moins (merci aux cartes postales d’être jolies mais aussi de coûter cher).
Nous sommes arrivés à Cordes-sur-Ciel à 19h30, et on s’est rendu compte immédiatement pourquoi le nom de ce village se terminait en « sur-Ciel »—c’est en haut d’une colline, presque dans le pays des anges.  Quand on visite Cordes, on apprend qu’à chaque agrandissement de la ville (fondée au treizième siècle), on a construit des murs pour mieux la protéger. Il ne reste que les portes de ces murs aujourd’hui, et l’on en compte cinq. D’habitude, quand on marche à Cordes (les voitures y sont interdites grâce à l’élévation), on compte les portes en montant, et tout d’un coup, on se trouve dans un village vraiment parfait—la quintessence des villages français. Installés à notre hôtel, nous avons très bien mangé, mais à mon avis le meilleur aspect de l’hôtel était la vue des fenêtres, qui donnaient sur la vallée eau pied de la colline. C’était comme si on vivait dans une carte postale.
Le lendemain, on a pu dormir un peu plus tard que normale et l’on a pris le petit-déjeuner tous ensemble avant de partir pour faire une visite guidée de Cordes. La vue sur la vallée de la place de Bride était vraiment incroyable, et encore une fois, j’ai pris sept photos et j’ai acheté plusieurs cartes postales d’exactement la même vue. Moi, j’ai trouvé très difficile de quitter ce village tranquille et simple pour la vie quotidienne de Toulouse, notamment parce que nous étions tous ensemble dans l’hôtel à nous reposer pour la première fois depuis notre arrivée à Toulouse. Enfin, l’excursion s’est très bien passée même si nous étions fatigués, et je remercie Laura pour ses efforts.
:::--Kitt Squire
<font color=#0000aa>'''Les Anniversaires de septembre'''</font><br>
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:<b>13</b> : Karen
:<b>13</b> : Karen

Revision as of 11:57, 27 September 2006

Bienvenue à Toulouse!

Les étudiants du programme de Dickinson en France ont bien commencé l'année scolaire 2006-2007.

Le Capitole

Photo par Meredith Ship
Le Capitole est un bâtiment majestueux du dix-neuvième siècle qui s’élève au-dessus de la place du Capitole. Aujourd’hui, il est la résidence du bureau de la mairie de Toulouse et d’un théâtre. De plus, le Capitole loge la Salle des Illustres qui réunit une collection de tableaux du dix-neuvième siècle. Les oeuvres de Henri Martin, un artiste toulousain, remplissent magnifiquement un grand couloir. La place du Capitole est vraiment le centre de Toulouse. Cette grande « piazza » est cernée par des cafés et des magasins très vivants. Trois jours par semaine on peut y trouver des marchés ouverts. Il y a un marché biologique le mardi et le samedi et un marché des forains le mercredi. Ces marchés offrent un mélange d’articles comme des sacs, des vêtements, du pain, et des légumes. En outre, la place du Capitole est un espace culturel ; c’est un lieu où la population de Toulouse peut se rassembler autour de concerts gratuits et d’autres événements culturels. Donc, quand vous arrivez à Toulouse, ne manquez pas le Capitole.
--Meredith Ship


Un Week-end à Conques et Cordes-sur-Ciel

Se réveiller à six heures et demie un samedi matin, c’est le rêve de chaque étudiant, n’est-ce pas ? En fait, c’est ce qui nous est arrivé à nous, les étudiants de Dickinson en France, le week-end du 9 septembre, quand nous sommes allés à Conques et Cordes-sur-Ciel pour une « découverte de la région et du terroir de Midi-Pyrénées ». Ce qui est très intéressant de voir à Conques, c’est que le petit village prend la forme d’une coquille, et c’est à Conques où l’on trouve l’Abbatiale Sainte-Foy, un centre de pèlerinage depuis le huitième siècle. Après avoir fait une sieste dans le bus, nous sommes arrivés à Conques, où l’on a commencé une « balade » pour découvrir les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passent autour de Conques.

C’est ici où il me faut m’arrêter quelques instants pour expliquer l’idée que j’avais dans la tête de ce qu’était une « balade. » Chez moi, une balade impliquait une petite promenade, et ce qu’on a fait à Conques n’était pas une petite promenade. C’était plus proche d’une marche à pied sur un chemin très escarpé. Imaginez une femme américaine un peu paresseuse, qui n’a pas beaucoup dormi parce qu’elle est sortie la veille avec sa mère d’accueil, en train de se rendre compte que son idée d’une balade n’était pas en accord avec celui du reste du monde. J’imagine que c’était drôle pour mes amis, ceux qui n’étaient pas comme moi à chercher à reprendre leur souffle. Malgré cela, la vue de la montagne sur Conques était magnifique, et après avoir fini la balade, je me sentais vraiment fière d’avoir fait quelque chose de tellement difficile. De plus, j’ai sept photos d’exactement la même vue que j’ai prises pendant la descente de la colline. À 17h00, nous avons quitté Conques avec quelques kilos et quelques euros en moins (merci aux cartes postales d’être jolies mais aussi de coûter cher). Nous sommes arrivés à Cordes-sur-Ciel à 19h30, et on s’est rendu compte immédiatement pourquoi le nom de ce village se terminait en « sur-Ciel »—c’est en haut d’une colline, presque dans le pays des anges. Quand on visite Cordes, on apprend qu’à chaque agrandissement de la ville (fondée au treizième siècle), on a construit des murs pour mieux la protéger. Il ne reste que les portes de ces murs aujourd’hui, et l’on en compte cinq. D’habitude, quand on marche à Cordes (les voitures y sont interdites grâce à l’élévation), on compte les portes en montant, et tout d’un coup, on se trouve dans un village vraiment parfait—la quintessence des villages français. Installés à notre hôtel, nous avons très bien mangé, mais à mon avis le meilleur aspect de l’hôtel était la vue des fenêtres, qui donnaient sur la vallée eau pied de la colline. C’était comme si on vivait dans une carte postale. Le lendemain, on a pu dormir un peu plus tard que normale et l’on a pris le petit-déjeuner tous ensemble avant de partir pour faire une visite guidée de Cordes. La vue sur la vallée de la place de Bride était vraiment incroyable, et encore une fois, j’ai pris sept photos et j’ai acheté plusieurs cartes postales d’exactement la même vue. Moi, j’ai trouvé très difficile de quitter ce village tranquille et simple pour la vie quotidienne de Toulouse, notamment parce que nous étions tous ensemble dans l’hôtel à nous reposer pour la première fois depuis notre arrivée à Toulouse. Enfin, l’excursion s’est très bien passée même si nous étions fatigués, et je remercie Laura pour ses efforts.

--Kitt Squire

Les Anniversaires de septembre

13 : Karen

Les Anniversaires d'octobre

16 : Jane
27 : Kelly
31 : Yee