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| <font color=#0000aa>'''Toulouse, la ville Rugby'''</font> | | <font color=#0000aa>'''Toulouse, ville du Rugby'''</font> |
| <center> [[Image:le_capitole_(centre).jpg|Photo par Meredith Ship]]</center> | | <center> [[Image:fillesrugby.jpg|Photo par Miriam Weiner]]</center> |
| :La présence de la Coupe du Monde de Rugby sur le territoire français cette année était l'occasion pour certains de découvrir ce sport tant aimé par les toulousains, et pour d'autres de se laisser succomber à l'amour du rugby. A Toulouse comme dans d'autres villes de France, pendant les mois de septembre et octobre des animations de toute sorte | | :La présence de la Coupe du Monde de Rugby sur le territoire français cette année était l'occasion pour certains de découvrir ce sport tant aimé par les toulousains, et pour d'autres de se laisser succomber à l'amour de celui-ci. A Toulouse comme dans d'autres villes de France, des animations de toute sorte ont insufflés les mois de septembre et octobre de l'esprit de rugby : notamment le Village Toulouse Rugby 2007, installé à la prairie des Filtres, a assuré la retransmission de chaque match sur un écran géant. D'autre part des expositions d'art, des spectacles et des concerts mettant l'honneur au rugby retenaient l'attention des Toulousains. |
| | :Si la France n'a pas remporté la coupe, ce n'est pas pour autant que l'on n'a pas apprécié l'expérience de la Coupe du Monde. La solidarité et l'ambiance de fête des soirées de match nous ont fait partager la fièvre du rugby. |
| | :::-- Kat Kramer |
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| | <font color=#0000aa>'''A la mode'''</font><br> |
| | :ARTICLE DE SHANNON |
| | :::--Shannon Sullivan |
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| :::--Meredith Ship
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| | <font color=#0000aa>'''Les Anniversaires de novembre'''</font><br> |
| | :<b>21</b> : Alison |
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| <font color=#0000aa>'''Réflexions sur le premier mois'''</font><br>
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| :Nous avons foulé sur la terre Toulousaine pour la première fois, il y a presque un mois. On s’est rendu compte que Toulouse est une ville très belle, vivante, musicale, culturelle et historique avec des habitants très accueillants. Il nous reste seulement une semaine avant la fin de l’orientation. Quelques-uns parmi nous viennent de commencer les cours à l’Université, notamment à IEP et UT1. Alors, comment nous sentons-nous ? À ce point-ci, on est tous à des niveaux tous différents, selon l’échelle de Baudry. Quelques-uns sont peut être toujours au niveau de résistance dans lequel on hésite à essayer ce qui est nouveau, tandis que d’autres sont déjà parvenus au niveau d’engagement, la participation active à la culture française. C’est sûr que l’interculturalité n’est pas facile pour un étranger. Cela prend, sans doute, du temps de s’habituer aux rues circulaires, aux magasins qui ferment tôt, aux « merdes » de chiens, aux menus indéchiffrables dans les restaurants (c’est quoi les lardons ?) et au manque de climatisation à la maison. Pourtant, il est important de garder à l’esprit que nous sommes tous logés à la même enseigne ; cela veut dire qu’aucun souci ne devrait pas être mis en bouteille. Communiquez, parlez, ne vous sentez pas seules si vous avez envie de voir vos amis, vos chats, manger à l’américaine, ou de parler sans bégaiement. Le jour viendra où vous serez à l’aise dans cette nouvelle culture. Pour vous aider, voici quelques conseils de votre camarade. Premièrement, soyez content de ne pas être à Paris ! Autrement, les Français vous répondraient en Anglais, soulignant évidemment le fait que vous êtes Américain. Ensuite, envoyez une carte postale à votre famille au lieu d’un coup de fil. C’est un changement sympa et vos parents apprécieront la pensée que vous aurez pour eux. Finalement, pour parler mieux, comme un vrai Français, rappelez-vous, « da da da »! Un an ce n’est pas si long, et un semestre c’est même plus court, donc passons le temps à l’étranger avec sagesse et profitons-en le plus possible.
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| :::--Heidi Kim
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| <font color=#0000aa>'''Commentaire de Joanna Freudenheim'''</font>
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| [[Image:B-D_Joanna_retaillé_2.jpg|Bande Dessinée par Joanna Freudenheim]]
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| <font color=#0000aa>'''Les Anniversaires de septembre'''</font><br>
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| :<b>13</b> : Karen
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| <font color=#0000aa>'''Les Anniversaires d'octobre'''</font><br>
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| :<b>16</b> : Jane
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| :<b>27</b> : Kelly
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| :<b>31</b> : Yee
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| <font color=#0000aa>'''Un Week-end à Conques et Cordes-sur-Ciel'''</font> | | <font color=#0000aa>'''Paris en septembre'''</font> |
| :Se réveiller à six heures et demie un samedi matin, c’est le rêve de chaque étudiant, n’est-ce pas ? En fait, c’est ce qui nous est arrivé à nous, les étudiants de Dickinson en France, le week-end du 9 septembre, quand nous sommes allés à Conques et Cordes-sur-Ciel pour une « découverte de la région et du terroir de Midi-Pyrénées ». Ce qui est très intéressant de voir à Conques, c’est que le petit village prend la forme d’une coquille, et c’est à Conques que l’on trouve l’Abbatiale Sainte-Foy, un centre de pèlerinage depuis le huitième siècle. Après avoir fait une sieste dans le bus, nous sommes arrivés à Conques, où l’on a commencé une « balade » pour découvrir les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passent autour de Conques. | | : |
| :C’est ici où il me faut m’arrêter quelques instants pour expliquer l’idée que j’avais dans la tête de ce qu’était une « balade. » Chez moi, une balade impliquait une petite promenade, et ce qu’on a fait à Conques n’était pas une petite promenade. C’était plus proche d’une marche à pied sur un chemin très escarpé. Imaginez une femme américaine un peu paresseuse, qui n’a pas beaucoup dormi parce qu’elle est sortie la veille avec sa mère d’accueil, en train de se rendre compte que son idée d’une balade n’était pas en accord avec celui du reste du monde. J’imagine que c’était drôle pour mes amis, ceux qui n’étaient pas comme moi à chercher à reprendre leur souffle.
| | :::-- Kat Kramer |
| :Malgré cela, la vue de la montagne sur Conques était magnifique, et après avoir fini la balade, je me sentais vraiment fière d’avoir fait quelque chose de si difficile. De plus, j’ai pris sept photos d’exactement la même vue que j’ai prises pendant la descente de la colline. À 17h00, nous avons quitté Conques avec quelques kilos et quelques euros en moins (merci aux cartes postales d’être jolies mais aussi de coûter cher).
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| :Nous sommes arrivés à Cordes-sur-Ciel à 19h30, et on s’est rendu compte immédiatement pourquoi le nom de ce village se terminait en « sur-Ciel »—c’est en haut d’une colline, presque dans le pays des anges. Quand on visite Cordes, on apprend qu’à chaque agrandissement de la ville (fondée au treizième siècle), on a construit des murs pour mieux la protéger. Il ne reste que les portes de ces murs aujourd’hui, et l’on en compte cinq. D’habitude, quand on marche à Cordes (les voitures y sont interdites grâce à l’élévation), on compte les portes en montant, et tout d’un coup, on se trouve dans un village vraiment parfait—la quintessence des villages français. Installés dans notre hôtel, nous avons très bien mangé, mais à mon avis le meilleur aspect de l’hôtel était la vue des fenêtres, qui donnaient sur la vallée eau pied de la colline. C’était comme si on vivait dans une carte postale.
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| :Le lendemain, on a pu dormir un peu plus tard que normale et l’on a pris le petit-déjeuner tous ensemble avant de partir faire une visite guidée de Cordes. La vue sur la vallée de la place de Bride était vraiment incroyable, et encore une fois, j’ai pris sept photos et j’ai acheté plusieurs cartes postales d’exactement la même vue. J’ai trouvé très difficile de quitter ce village tranquille et simple pour la vie quotidienne de Toulouse, notamment parce que nous étions tous ensemble dans un hôtel à nous reposer pour la première fois depuis notre arrivée à Toulouse. Enfin, l’excursion s’est très bien passée même si nous étions fatigués, et je remercie Laura pour ses efforts.
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| :::--Kitt Squire | |
| <center>[[Image:Conques_3.jpg|Photo par Heidi Kim]] </center> | | <center>[[Image:Conques_3.jpg|Photo par Heidi Kim]] </center> |
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| <font color=#0000aa>'''Printemps de Septembre'''</font>
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| :Depuis six ans, Toulouse est la ville d'accueil du festival d'art contemporain, Printemps de septembre. Un endroit ouvert à toutes formes d'art, où les artistes peuvent défier le traditionnel. Marie-Thérèse Perrin, la présidente de l'association du Printemps de septembre dit que la mission « peut se résumer simplement à la création libre d'une proposition originale et cohérente.». Le festival inclut des peintures, des sculptures, et des spectacles vivants.
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| :Pendant ces six ans environ deux cent cinquante projets d'artistes ont été présentés à Toulouse. Cette année, le thème est « Lignes Brisées/Broken Lines », qui incorpore la relation entre l'ordre et le désordre ; c'est inspirée par la théorie du chaos qui libère le public par son instabilité et sa désorientation. « Le motif de la ligne brisée correspond a un instant étrange, mystérieux, ou tout bascule, ou tout échappe, aux représentations comme aux images connues, aux prévisions comme aux conceptions linéaires du temps et de l'espace », dit le directeur artistique, Jean-Marc Bustamante. Les artistes et les oeuvres sont choisis en fonction du thème du festival et doivent correspondre à l'image du festival.
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| :Les Printemps de septembre dure du 22 septembre au 15 octobre. Les soirées nocturnes, qui incluent des spectacles vivants, des lumières, sont les 22-23 et 29-30 septembre jusqu'à 1h30 du matin, et l'entrée est libre. Vous trouverez le plan et les lieux des expositions et des événements du Printemps de septembre sur le site Web: printempsdeseptembre.com.
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| :::--Jamie Wolf
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| <font color=#0000aa>'''Délices de Tunis'''</font>
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| <center>[[Image:Délices_de_Tunis_1_bis.jpg|Photo par Heidi Kim]]</center>
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| :De l’extérieur, à travers les vitrines, on ne peut que regarder fixement le spectacle incroyable des desserts délicieux tous variés en couleur et tous rangés avec ordre, en piles. En poussant la porte de verre de cette petite pâtisserie, des mélodies d’amour arabe imprègnent l’atmosphère. On est accueilli par des tableaux de scènes du Moyen-Orient qui nous rapelle les contes des Mille et une Nuit et par de belles flasques en cuivre. L’assortiment copieux des desserts rend impossible le choix d’une pâtisserie. Par exemple, on voit des Makrouads aux Amandes spongieux sucrés gorgés de miel en forme de rouleaux épais, de petits gâteaux Istanbul poudrés délicatement de coco et de noisettes et des Besboussas faits de couches légères comme le Baklava aux amandes et aux noix de cajou. Le thé à la menthe chaud est servi dans des théières qui ressemblent à les lampes de génies minatures. Si vous aimez les sucreries, allez visiter ce coin, un vrai petit bijou, soit avec un ami, un copain, ou tout seul. Pour un nouvel essai, goûtez les cornes de gazelles avec un thé à la menthe. Vous ne le regretterez pas. Délices de Tunis se trouve Place Esquirol juste en face de Midica à coté de la Brasserie. 22bis, rue des Tourneurs, Toulouse, 31000.
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| :::--Heidi Kim
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| [[La Une in English: September 2006|Click here to see the English Version, translated by Stephanie Roberts.]]
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