Avril 2008: Difference between revisions

From Dickinson College Wiki
Jump to navigationJump to search
No edit summary
No edit summary
Line 41: Line 41:




<font color=#0000aa>'''Un anniversaire extraordinaire'''</font><br>
<font color=#0000aa>'''Le Papagayo'''</font><br>
:Mardi 12 février était le premier anniversaire que je fêtais hors des Etats-Unis. C'est un fait normal pour une étudiante à l’étranger de passer son anniversaire loin de sa famille et de ses amis proches, mais quand même, je craignais un peu le fait de fêter cet anniversaire sans le gâteau préparé par ma mère ni la fête que j’aurais organisée chez moi avec des amis. Cependant, je n’avais rien à craindre : mes parents d’accueil ne m’ont pas seulement offert des cadeaux (fait déjà inattendu et gracieux), mais ils m’ont aussi offert une place au concert de l’Orchestre National du Capitole de Toulouse. C’était à l'occasion de la soirée des étudiants. Je devais y aller seule mais, au dernier moment, ma mère d’accueil a pu obtenir une place et venir avec moi. Je ne pouvais pas recevoir de plus joli cadeau.
:Vous venez de passer 4 heures dans vos cours à l’IEP, deux heures pendant lesquelles vous ne pensiez qu’aux grognements de votre ventre. Naturellement, vous aimeriez déjeuner, bien déjeuner, mais vous n’avez pas envie d’aller loin. Ne cherchez plus, le café parfait est juste sous votre nez - Le Papagayo !


:Le concert lui-même était excellent. L'orchestre a joué la musique de mon époque préférée, celle de la fin du XIXº siècle jusqu’à la deuxième décennie du XXº siècle. L’orchestre a joué quatre morceaux dans l’ordre chronologique : l’Arlésienne suite de Georges Bizet, le Concerto pour Cors de Richard Strauss et enfin Ma mère l’oie et La Valse de Maurice Ravel. Avant chaque morceau, le chef d’orchestre en a situé le cadre historique et artistique . Il a expliqué brièvement la transformation de l’Arlésienne qui est passée d’une musique de scène pour un film à une suite très appréciée par le public. Il a aussi raconté l’histoire du neveu et de la nièce de Ravel pour qui il avait écrit sa série de cinq morceaux d’un niveau technique élevé mais d’une une esthétique abordable même pour un public jeune. Finalement, et le plus intéressant, à mon avis, était la construction de La Valse qui suit l’histoire de la tradition de la valse viennoise de sa naissance jusqu’à sa mort violente à cause de la première guerre mondiale. Les commentaires étaient brefs, mais apportaient l’essentiel au public. D’ailleurs, le chef d’orchestre était une personne charmante, très petite et avec un accent de l’est ; Il n’utilisait pas de baguette et était vraiment passionné par les morceaux qu’il faisait jouer par l’orchestre. Il connaissait la partition de l’Arlésienne par coeur tellement il avait travaillé ce morceau. De plus, il a raconté, en décrivant le caractère de chacune des cinq parties de Ma mère l’oie, comment « Le jardin féerique » était son morceau préféré. A la fin de ce morceau, l’ovation du public était tellement forte et persistante que ma mère d’accueil et moi savions à l’avance que ce serait « Le jardin féerique » qui serait repris à la fin du concert. Le visage du chef d’orchestre et le mien avaient la même expression : un grand sourire qui montrait bien les dents et les yeux fermés. Derrière nos paupières, le jardin évoqué par la musique de Ravel et exécuté par l’Orchestre National du Capitole de Toulouse se manifestait en couleurs et en formes. J’étais heureuse de cet anniversaire à la française passé dans un jardin musical.
:Le Papagayo est un café sympathique qui attire beaucoup d’étudiants à cause de sa localisation. Il est bien situé sur la rue Deville en face de UT1, de l’Arsenal et de l’IEP. Pour ceux qui ne connaissent pas le quartier de l’Université, c’est un bon moyen de rencontrer les étudiants et d’être intégrés dans la vie étudiante.


:::-- Megan Conlon
:Quand vous entrez dans le café vous trouverez des serveurs sympathiques et une carte pleine des bonnes options.  S’il fait beau, vous pouvez manger dehors sur la terrasse et regarder la vie étudiante dérouler devant vos yeux.  Sinon, il y a plein de places à l’intérieur qui vous conviendront.


:À propos de la cuisine, si vous désirez une formule raisonnable, je vous encourage à prendre le plat du jour plus une entrée ou un dessert pour 12 euros.  Les plats changent tout le temps et le cuisinier expérimente avec des saveurs exotiques qui vont choquer votre bouche !  Mais ne vous n’inquiétez pas si vous n’êtes pas aventureux ou si vous n’avez pas 12 euros disponibles pour le déjeuner ; tout n’est pas perdu. 
:Vous pouvez manger un sandwich à partir de 3 euros sur place et un café à 1, 40 euros.  Les salades composées sont aussi raisonnables et vous coûteront 7,50 euros.  De plus, Le Papagayo offre des desserts et des glaces faits maison chaque jour.  Tout est frais et il y a des choix pour n’importe quel goût. 
:En fait, je suis passée par Le Papagayo dix mille fois avant de décider finalement m’y arrêter.  Ce restaurant ne paraît pas spécial a priori, mais je vous assure que c’est un vrai petit trésor.  Je vous encourage à y entrer et à y manger bien.  Bon appétit !
::Le Papagayo
::31, Rue Deville
:::-- Amanda Lehn
<font color=#0000aa>'''Le Papagayo'''</font><br>
:Trois mois ont passé depuis mon départ des Etats-Unis, et j’en suis plus ou moins au milieu de mon séjour à l'étranger.  C’est le moment parfait pour réfléchir à tout ce que j’ai fait jusqu’ici !
J’étais tellement occupée depuis mon arrivée à Toulouse par mes cours, mon stage et le quotidien que je n’ai pas remarqué ce que j’avais déjà accompli.  Depuis mon départ à la fin de décembre, j’ai visité une douzaine de villes européennes, j’ai découvert une nourriture dont je ne soupçonnait même pas l’existence, et la chose la plus impressionnante pour moi est que j’ai appris à vivre dans un monde complètement étranger.
J’ai commencé mon voyage en Europe par l’Italie, quand j'ai rendu visite à des amis de Dickinson qui étudient à Bologne pour l’année.  Pendant cette semaine là, nous sommes allés à Parme et à Pisa.  C’était une semaine excellente, mais j’étais ravie d’aller finalement à Toulouse pour le semestre – je pourrais enfin utiliser mes connaissances de la langue et de la culture française qui j'ai étudiées pendant huit ans !
Le premier mois était extrêmement épuisant – dans tous les sens du terme.  C’était une introduction à la vie française et l’immersion dans la langue française – « information overload ! » Tout était nouveau, et j’ai voulu être ouverte à toute expérience nouvelle.  J’ai essayé la nourriture qui m’était offerte – comme le steak tartare, le canard, le lapin et les escargots.  Pendant le premier mois, j’ai visité trois autres villes françaises : Albi avec Dickinson, Montpellier et Carcassonne.
J’ai aussi bien profité de mes vacances de février.  J’ai pris un train de nuit avec une amie de Toulouse pour aller à Strasbourg – un voyage de 12 heures.  En quatre jours, j’ai vu Strasbourg, Dijon et Beaune (en Bourgogne).  Je devais rentrer à Toulouse pour rencontrer Sylvie, Laura et le groupe d’étudiantes du deuxième semestre pour notre voyage à Paris. Nous avons passé quatre jours à Paris, et j’ai visité : le Centre Pompidou, le Sacré Cœur, le Musée d’Orsay, le Louvre, la Tour Eiffel, Notre Dame de Paris et Versailles.  C’est vrai que j’en ai eu pour mon argent pendant ces vacances !
Le mois passé était un mois de travail intense pour moi (selon les standards français !) et une façon de m’intégrer plus dans ma vie française.  L’autre jour, j’ai remarqué quelque chose qui était incroyable pour moi, lorsque je suis rentrée chez moi après une longue journée de cours et mon stage.  Pour les autres, il est possible que ce soit un peu trop évident, mais j’ai réalisé que j’habitais en France.  Je vis en France. 
Quand je le dis, cela semble banal, mais le fait d’en prendre conscience est quelque chose qu’on ne peut pas apprécier sauf si on a vécu la même expérience. Je vis une vie normale pour moi, mais en France.  J’habite avec une famille française, je suis mes cours dans une université française, je parle la langue française.  Clairement, je ne suis pas française – je suis encore très américaine.  Mais le fait d’être tellement à l’aise avec ma vie en France est vraiment incroyable à imaginer. 
Il me reste encore deux mois à passer à Toulouse.  Les vacances de printemps arrivent au milieu d’avril. J’ajouterai six villes de plus à ma liste et je goûterai indubitablement une nouvelle cuisine, mais je ne pourrai plus prendre conscience du fait que je vis actuellement dans une monde qui était un rêve depuis plusieurs années.
:::-- Sarah Casey


<font color=#0000aa>'''Les anniversaires de février'''</font><br>
<font color=#0000aa>'''Les anniversaires de février'''</font><br>
:<b>12</b> : Megan Conlon
:<b>12</b> : Megan Conlon
:<b>17</b> : Andrea Winter
:<b>17</b> : Andrea Winter
<font color=#0000aa>'''L'anniversaire de mars'''</font><br>
:<b>30</b> : Melissa Osborn





Revision as of 15:13, 28 March 2008

On sort !

Janvier était un mois de transition : la fin des cours et les partiels pour les étudiantes du premier semestre, l'arrivée et les premières rencontres pour celles du deuxième semestre. Par ailleurs il a beaucoup plu en janvier, alors que le mois de février est arrivé en douceur. Evidemment, cela facilite les sorties ! En voici quelques unes, en résumé !
-- Kat Kramer


Exposition : Keith Haring

Le week-end passé, celui de Pâques, je suis allée à Lyon. Puisqu'il neigeait j'ai décidé que ce serait une bonne occasion de voir le musée d'art contemporain. J'étais ravie de découvrir que le musée a monté une exposition impressionnante qui occupait ses trois étages : il s'agit d'une rétrospective de Keith Haring. Je me suis familiarisée avec ses oeuvres grâce à un cours sur les artistes de la rue que j'ai suivi l'année dernière - les break danseurs, les graffitistes, etc. Haring travaillait pendant les années quatre-vingt à New York City, principalement dans les stations de métro. Il couvrait des espaces vides de ses dessins, qui portent souvent des messages politiques sous-jacents. Vers la fin de sa vie, malade et atteint du SIDA, ses dessins sont devenus progressivement plus "apocalyptiques" et montraient des scènes violentes et catastrophiques. Keith Haring est mort en 1990. Pour cette exposition, on a rassemblé des centaines de ses dessins (à la craie ou à l'encre) et ses peintures murales. On a tourné un petit film à propos de sa vie et affiché des photos qui le montrent en train de dessiner. C'était donc une exposition très complète, très émouvante. J'étais étonnée d'avoir dû attendre une bonne demi-heure pour entrer dans le musée - je ne savais pas que Keith Haring était connu en France !
-- Kristin Beach


Photo par Miriam Weiner
Les rochers à Biarritz.


Une Visite à Mas d'Azil

Avez-vous jamais traversé une grotte en voiture ? Moi, je l'ai fait, il y a trois semaines, à Mas d'Azil. En Ariège, où cette grotte a connu des habitations humaines pendant 35 000 années. Toujours un abri sûr contre le temps désagréable, les bêtes sauvages et les envahisseurs indésirables, cette grotte est un site riche d'un point de vue anthropologique. On y trouve des ossements d'animaux et d'êtres humains. Les peintures sur les murs sont abîmés mais toujours présentes. De plus, l'ouverture de la grotte est tellement large qu'on a pu construire une auto-route qui passe sous la roche.
Pour les amateurs de balade, on peut également faire un tour sur la corniche au-dessus de la grotte où on trouve un joli point de vue de la ville de Mas d'Azil. De plus, on voit les Pyrénées si le temps le permet. Moi, j'y ai passé une journée sympathique avec ma famille d'accueil. Après avoir fait une balade, nous avons pique-niqué en plein air. Nous n'avons pas manqué les paysages magnifiques et j'ai même appris quelques points sur la vie du paysan jusqu'à la fin de la deuxième guerre mondiale. Cette région a connu beaucoup de bergers qui élevaient des moutons et qui cultivaient des céréales.
En somme, c'est une visite qui vaut le coup !
-- Megan Conlon


Parles-tu l'argot?

Piger - Comprendre, capter. "Tu peux me passer tes cours, s'il te plaît ? J'ai rien pigé de ce qu'a dit le prof."
Frimer ; Se la péter - Faire le prétentieux. " ."


Le voyage à Paris du deuxième semestre

Photo par Laura Raynaud
Le groupe d'étudiantes du deuxième semestre visitent le Centre Pompidou. Elles sont parties ensemble pendant quatre jours découvrir la capitale.


Le Papagayo

Vous venez de passer 4 heures dans vos cours à l’IEP, deux heures pendant lesquelles vous ne pensiez qu’aux grognements de votre ventre. Naturellement, vous aimeriez déjeuner, bien déjeuner, mais vous n’avez pas envie d’aller loin. Ne cherchez plus, le café parfait est juste sous votre nez - Le Papagayo !
Le Papagayo est un café sympathique qui attire beaucoup d’étudiants à cause de sa localisation. Il est bien situé sur la rue Deville en face de UT1, de l’Arsenal et de l’IEP. Pour ceux qui ne connaissent pas le quartier de l’Université, c’est un bon moyen de rencontrer les étudiants et d’être intégrés dans la vie étudiante.
Quand vous entrez dans le café vous trouverez des serveurs sympathiques et une carte pleine des bonnes options. S’il fait beau, vous pouvez manger dehors sur la terrasse et regarder la vie étudiante dérouler devant vos yeux. Sinon, il y a plein de places à l’intérieur qui vous conviendront.
À propos de la cuisine, si vous désirez une formule raisonnable, je vous encourage à prendre le plat du jour plus une entrée ou un dessert pour 12 euros. Les plats changent tout le temps et le cuisinier expérimente avec des saveurs exotiques qui vont choquer votre bouche ! Mais ne vous n’inquiétez pas si vous n’êtes pas aventureux ou si vous n’avez pas 12 euros disponibles pour le déjeuner ; tout n’est pas perdu.
Vous pouvez manger un sandwich à partir de 3 euros sur place et un café à 1, 40 euros. Les salades composées sont aussi raisonnables et vous coûteront 7,50 euros. De plus, Le Papagayo offre des desserts et des glaces faits maison chaque jour. Tout est frais et il y a des choix pour n’importe quel goût.
En fait, je suis passée par Le Papagayo dix mille fois avant de décider finalement m’y arrêter. Ce restaurant ne paraît pas spécial a priori, mais je vous assure que c’est un vrai petit trésor. Je vous encourage à y entrer et à y manger bien. Bon appétit !
Le Papagayo
31, Rue Deville
-- Amanda Lehn


Le Papagayo

Trois mois ont passé depuis mon départ des Etats-Unis, et j’en suis plus ou moins au milieu de mon séjour à l'étranger. C’est le moment parfait pour réfléchir à tout ce que j’ai fait jusqu’ici !

J’étais tellement occupée depuis mon arrivée à Toulouse par mes cours, mon stage et le quotidien que je n’ai pas remarqué ce que j’avais déjà accompli. Depuis mon départ à la fin de décembre, j’ai visité une douzaine de villes européennes, j’ai découvert une nourriture dont je ne soupçonnait même pas l’existence, et la chose la plus impressionnante pour moi est que j’ai appris à vivre dans un monde complètement étranger.

J’ai commencé mon voyage en Europe par l’Italie, quand j'ai rendu visite à des amis de Dickinson qui étudient à Bologne pour l’année. Pendant cette semaine là, nous sommes allés à Parme et à Pisa. C’était une semaine excellente, mais j’étais ravie d’aller finalement à Toulouse pour le semestre – je pourrais enfin utiliser mes connaissances de la langue et de la culture française qui j'ai étudiées pendant huit ans !

Le premier mois était extrêmement épuisant – dans tous les sens du terme. C’était une introduction à la vie française et l’immersion dans la langue française – « information overload ! » Tout était nouveau, et j’ai voulu être ouverte à toute expérience nouvelle. J’ai essayé la nourriture qui m’était offerte – comme le steak tartare, le canard, le lapin et les escargots. Pendant le premier mois, j’ai visité trois autres villes françaises : Albi avec Dickinson, Montpellier et Carcassonne.

J’ai aussi bien profité de mes vacances de février. J’ai pris un train de nuit avec une amie de Toulouse pour aller à Strasbourg – un voyage de 12 heures. En quatre jours, j’ai vu Strasbourg, Dijon et Beaune (en Bourgogne). Je devais rentrer à Toulouse pour rencontrer Sylvie, Laura et le groupe d’étudiantes du deuxième semestre pour notre voyage à Paris. Nous avons passé quatre jours à Paris, et j’ai visité : le Centre Pompidou, le Sacré Cœur, le Musée d’Orsay, le Louvre, la Tour Eiffel, Notre Dame de Paris et Versailles. C’est vrai que j’en ai eu pour mon argent pendant ces vacances !

Le mois passé était un mois de travail intense pour moi (selon les standards français !) et une façon de m’intégrer plus dans ma vie française. L’autre jour, j’ai remarqué quelque chose qui était incroyable pour moi, lorsque je suis rentrée chez moi après une longue journée de cours et mon stage. Pour les autres, il est possible que ce soit un peu trop évident, mais j’ai réalisé que j’habitais en France. Je vis en France.

Quand je le dis, cela semble banal, mais le fait d’en prendre conscience est quelque chose qu’on ne peut pas apprécier sauf si on a vécu la même expérience. Je vis une vie normale pour moi, mais en France. J’habite avec une famille française, je suis mes cours dans une université française, je parle la langue française. Clairement, je ne suis pas française – je suis encore très américaine. Mais le fait d’être tellement à l’aise avec ma vie en France est vraiment incroyable à imaginer.

Il me reste encore deux mois à passer à Toulouse. Les vacances de printemps arrivent au milieu d’avril. J’ajouterai six villes de plus à ma liste et je goûterai indubitablement une nouvelle cuisine, mais je ne pourrai plus prendre conscience du fait que je vis actuellement dans une monde qui était un rêve depuis plusieurs années.

-- Sarah Casey

Les anniversaires de février

12 : Megan Conlon
17 : Andrea Winter


A l'agenda, en avril : une soirée flamenco, un week-end dans le Quercy, et les vacances de printemps. A très bientôt à la Une !

-- Kat Kramer, rédactrice


Cliquez ici pour retourner à la page d'accueil de La Une.