Octobre 2006: Difference between revisions

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<font color=#0000aa>'''Excursion à Albi'''</font>
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:Le samedi 14 octobre, les étudiants de Dickinson ont fait une excursion à la ville médiévale d’Albi.  Environ une heure en train de Toulouse, Albi est une ville plaisante avec un style architectural comme la Ville Rose avec beaucoup de brique.  Le bâtiment plus remarquable est la cathédrale Sainte-Cécile, une grande forteresse gothique méridionale.  Outre l’extérieur impressif brique, on trouve un intérieur couvert en peinture avec l’immense peinture du Jugement Denier qui montre les sept péchés capitaux.  Au tour de la cathédrale, il y a des cafés, restaurants, des vendeurs dans les rues, et un bon chocolatier où on trouve des spécialités régionales comme des violets et du cassoulet.  De plus, Albi est le lieu de naissance de l’artiste de 19e siècle, Henri de Toulouse-Lautrec.  Le musée de Toulouse-Lautrec garde des portraits, des impressions, et des affiches publicitaires de cette artiste révolutionnaire.  Albi est une ville charmante qui comble les intérêts différents des visiteurs.   
:Samedi 14 octobre, les étudiants de Dickinson ont fait une excursion dans la ville médiévale d’Albi.  A environ une heure en train de Toulouse, Albi est une ville plaisante dont le style architectural ressemble à la Ville Rose.  Le bâtiment le plus remarquable est la cathédrale Sainte-Cécile, une grande forteresse gothique méridionale.  Outre l’extérieur en brique impressionnant, on trouve un intérieur orné d'une immense fresque du Jugement Denier qui montre les sept péchés capitaux.  Autour de la cathédrale, on peut trouver des cafés, des restaurants, des vendeurs dans les rues, et un bon chocolatier, qui vendent des spécialités régionales comme des violettes et du cassoulet.  De plus, Albi est le lieu de naissance de l’artiste Henri de Toulouse-Lautrec.  Un musée lui a été consacré et conserve les oeuvres de ce peintre audacieux: des portraits, des gravures et des affiches publicitaires.   
:Albi est une ville charmante qui charmera les visiteurs français et étrangers.   
:::--Jamie Wolf
:::--Jamie Wolf



Revision as of 15:55, 20 November 2006

Les Américains à Toulouse

Au cours des semaines passées, les étudiants de Dickinson en France ont fait des découvertes heureuses et dérangeantes. Chacun d’entre nous a trouvé ses endroits préférés pour boire un café, écrire une carte postale ou faire les vitrines. Mais en même temps, nous nous sommes rendu compte - quelquefois dans des circonstances gênantes ou attristantes—que nous étions vraiment des étrangers, que quelques stéréotypes peuvaient être vrais, et qu’il était tout à fait difficile de fonctionner dans un pays et une langue qui ne sont étrangers. Mais malgré tous ces défis, ou peut-être grâce à eux, nous apprenons et nous devenons des personnes plus intelligentes, plus intéressantes et surtout plus équipées pour une vie efficace et réussie. Que ce soit un petit incident ou un grand obstacle, tout ce qui nous arrive nous amène vers l’interculturalité—un outil qui est extrêmement valable dans ce monde. Donc, amusons-nous et avançons énergétiquement dans cette culture qui nous attire et nous repousse à la fois. C’est maintenant notre attitude qui peut déterminer si cette année sera une expérience à savourer ou de survie.
--Anna Cumbie, rédactrice


Monument à Découvrir: Saint Sernin

L’église Saint Sernin est un des points de repère le plus connu de Toulouse. Le clocher de cette église, qui est un mélange d’architecture romane et gothique, est visible partout à Toulouse. Saint Sernin a été construite pendant la période romane. L’origine du nom de l’église est liée à l’histoire de Toulouse. En 250 après Jésus-Christ, Saint Sernin est devenu le premier évêque de Toulouse. Il a été martyrisé par un prêtre païen qui l’a attaché par les pieds à un taureau. Le taureau a ainsi trainé l’évêque dans les rues de Toulouse jusqu’à sa mort.
La renommée de cette église a commencé après le roi Charlemagne qui a fait don de reliques à l’église Donc, beaucoup de pèlerins visitèrent l’église Saint Sernin pour se recueillir devant les reliques des saints. L’église qui existe aujourd’hui a été bâtie pour accueillir un grand nombre de pèlerins qui visitent l’église chaque jour.
Aujourd’hui, l’église Saint Sernin reste une destination de pèlerinage. De plus, cette église est un centre d’intérêt pour les Toulousains et les touristes. Tous les dimanches, un grand marché a lieu autour de Saint Sernin. On peut y trouver des fruits et des légumes, mais aussi des vêtements, des chaussuress, des peintures, des objets anciens, etc. Si on veut, on peut aller à la messe à Saint Sernin. Cette grande église est aussi un endroit culturel. Par exemple, pendant la première moitié du mois d’octobre, l’église de Saint Sernin a fait partie du Festival International Toulouse les Orgues. On pouvait s’asseoir dans le coeur de cette église et écouter dela musique jouée par des organistes de toutes nationalités.
L’église Saint Sernin reste aujourd’hui un monument important de l’histoire de Toulouse et de sa vie culturelle.
--Meredith Ship
Photo par Meredith Ship


Revue: Good Samaritans au Théâtre Garonne

Imaginez quatre jeunes filles américaines qui ont attendu avec impatience l’occasion de voir une pièce de théâtre américaine pendant leur temps à Toulouse. « Ça serait très cool de voir d’autres Américains à Toulouse, » nous nous sommes dit. En fait, ce que nous avons vu le vendredi 20 octobre au Théâtre Garonne n’était pas du tout ce que nous avons espéré. Certes, c’était très agréable d’entendre l’anglais parlé et non pas suivi par le « En français s’il vous plait ! » que, heureusement, nous entendons de moins en moins au Centre Dickinson. Cela dit, j’ai trouvé que les New York City Players, qui ont présenté la pièce de théâtre « Good Samaritans » de Richard Maxwell, voulaient faire tellement de choses que, par conséquence, ils n’ont rien fait.
Selon le petit paragraphe du programme que nous avons été donné avant d’aller au Théâtre Garonne, Kevin est un beau jeune personnage tandis que Rosemary est une vieille infirmière dans un centre de réhabilitation. Kevin est venu au centre, nous apprenons, pour se guérir de l’habitude des drogues et de l’alcool. Au lieu d’être beau, Kevin est dégoûtant et sale, bien évidemment sans abri. Dès qu’il entre en scène, Kevin parle avec une voix très fort, dans une manière gênante. Peut-être il a parlé dans cette manière pour faire sembler qu’il a été défoncé par la drogue—personne ne sait. Rosemary, cependant, est dure, rigide et stricte avec les règles du centre de réhabilitation. Elle ne sourit jamais.
Pendant les premières dix minutes de la pièce, nous avons eu la chance de voir Kevin complètement nu, déshabillé par Rosemary dans une manière très soudaine. C’est ce genre de chose qui nous a étonnées ; le but de la pièce a semblé souvent de choquer à tout prix les spectateurs. Les deux personnages ont été complètement monotones, même en chantant, et il y avait un vrai manque d’âme pendant la production. Les monologues de Kevin ont été bizarres et sans aucune logique, et le rapport entre les deux personnages a trop vite développé. Présentée pendant toute la pièce comme une femme traditionnelle et religieuse, Rosemary est trop facilement tombée amoureuse de Kevin. Pendant la scène où les deux ont fait l’amour, nous étions complètement mal à l’aise, baissant nos yeux pour ne pas voir une femme de soixante ans dans ses sous-vêtements.
On pourrait dire, bien sur, que les Américains ont toujours du mal à se sentir à l’aise pendant les scènes d’amour. Mais je dirais que, pour nous, ce n’était pas le cas. Cette scène d’amour était tellement tendue parce qu’il s’agissait de l’amour soudain entre deux personnages bizarres et brusques, et personne ne se sentait prêt à le voir. Nous sommes sorties du théâtre en disant « Est-ce qu’ils l’ont fait mal exprès ? » et voilà ce qui n’était pas clair pendant « Good Samaritans »—nous ne savions jamais s’il y avait un sens caché qui nous a manqué.
--Kitt Squire


Excursion à Montauban Photo par Meredith Ship

Montauban est située à 55 kilomètres au nord de Toulouse. Cette ville pittoresque a été bâtie sur les bords du Tarn. Montauban, comme Toulouse, est connue pour sa couleur rose parce que la majorité des bâtiments a été construite en brique.
Nous avons commencé notre voyage à Montauban par une visite au Musée d’Ingrès. Ce musée abrite la plupart des oeuvres de Jean Ingres, un artiste français né à Montauban. Après le musée, nous avons parcouru les rues de cette ville et avons découvert l’église St. Jacques, une église qui date de quatorzième siècle, et la Place Nationale, une place carrée qui date du dix-septième siècle.
Avant de quitter Montauban, nous avons déjeuné à la Brasserie Bourdelle, un restaurant qui porte le nom du célèbre sculpteur né lui aussi à Montauban. Puis nous avons quitté Montauban et avons passé l’après-midi au Château de Jean-Jacques Lefranc de Pompignan. Cet homme cultivé, né à Mautauban, a vécu au Siècle des Lumières et était connu pour sa poésie. De plus, c’était un jardinier amateur. Après avoir écouté une conférence sur les jardins du château et sur la contribution de Pompignan à l’art des jardins, nous avons visité les jardins et le château.
Si vous cherchez une excursion d’une journée pendant votre séjour à Toulouse, pensez à Montauban, c’est une jolie ville qui a une histoire et une culture riches.
--Meredith Ship


Restaurant à Découvrir : Au Coin de la Rue Bistrot et Brasserie

Ce petit restaurant sur la Place St. Pierre est un lieu très agréable pour les étudiants qui cherchent un repas qui est bon marché mais un peu plus chic que la crêperie que nous connaissons un peu trop bien.
Quand on entre dans Au Coin de la Rue, on sent l’ambiance relaxé mais chic, créée par des murs de brique exposés et des chandeliers de cristal.
La carte est très riche, avec une bonne sélection de vins en bouteille et au verre ; de grandes salades ; des tapas et des « planches » de viandes, poissons, ou légumes qui mettent en vedette les spécialités françaises, italiennes et espagnoles ; et des cafés et des desserts, dont le plus notable est le tiramisu à la poire et au Nutella.
Au Coin de la Rue offre une formule petit déjeuner à 5 euros, et une formule « en cas » à 7 euros (jusqu’à 18h00) qui propose un œuf dur, du pain, du Serrano, et un verre de vin. Le soir, il ne propose que la carte. Les tapas et les desserts coûtent 5 euros environ, les planches et les salades 10 euros, et le vin au verre 3 euros.
Un autre aspect charmant de ce bistrot est le chien qui nous a accueillis et qui est même resté la tête sur nos genoux de temps en temps pendant le repas.
Au coin de la Rue est ouvert du lundi au dimanche de ? à ?, sauf le samedi midi, et se trouve au coin de la rue Pargaminières et de la rue Valade à Place St. Pierre. Tél : 05.61.21.99.45.
--Anna Cumbie, rédactrice


Excursion à Albi

Samedi 14 octobre, les étudiants de Dickinson ont fait une excursion dans la ville médiévale d’Albi. A environ une heure en train de Toulouse, Albi est une ville plaisante dont le style architectural ressemble à la Ville Rose. Le bâtiment le plus remarquable est la cathédrale Sainte-Cécile, une grande forteresse gothique méridionale. Outre l’extérieur en brique impressionnant, on trouve un intérieur orné d'une immense fresque du Jugement Denier qui montre les sept péchés capitaux. Autour de la cathédrale, on peut trouver des cafés, des restaurants, des vendeurs dans les rues, et un bon chocolatier, qui vendent des spécialités régionales comme des violettes et du cassoulet. De plus, Albi est le lieu de naissance de l’artiste Henri de Toulouse-Lautrec. Un musée lui a été consacré et conserve les oeuvres de ce peintre audacieux: des portraits, des gravures et des affiches publicitaires.
Albi est une ville charmante qui charmera les visiteurs français et étrangers.
--Jamie Wolf


Printemps de Septembre

Le « Printemps de Septembre » est un festival d’art contemporain. Pendant vingt-quatre jours, neuf lieux exposent des oeuvres d’art contemporaine àToulouse. Ces lieux sont : L’espace Ecureuil, l’Hôtel Dieu, Le Château d’Eau, Les Abbatoirs, l’Espace EDF Bazacle, Maison Eclusière, Les Jacobins, l’Espace Croix-Baragnon, et quelques autres endroits dans un espace urbain, comme le Ptont Neuf par exemple. De plus, le festival du «Printemps de Septembre » inclut des soirées Nomades. Ces manifestations sont des spectacles de danse, ciné-concerts, performances vidéo-son, et musiques actuelles. L’entrée aux spectacles du « Printemps de Septembre » est gratuite pour tout le monde. La juxtaposition de l’art contemporain et de l’architecture ancienne de Toulouse produit sur le spectateur un effet inoubliable. Ne manquez pas le festival du « Printemps de Septembre » si vous êtes à Toulouse pendant les mois de septembre et octobre.
--Meredith Ship


Exposition au Château d’Eau

Comme nous l'avons appris dans notre programme d’orientation avec Madame Beauville, le Château d’Eau est un lieu d’exposition pour les photographes modernes et un exemple intéressant de l’architecture recyclée.
L’exposition actuelle au Château d’Eau est une collection de la photographie de Dominique Delpoux qui s’appelle « Double je ». Quelques séries dans cette exposition sont : Les mineurs de Carmaux, Les jumeaux, Les hommes du chantier, Uniformes, et Double je. Chacune de ces séries est un commentaire sur l’identité fait à travers la juxtaposition de portraits.
Ma série préférée est Les jumeaux, pour laquelle Delpoux a trouvé des jumeaux qu'il a photographiés chacun chez soi. Les jumeaux qui habitent séparément sont présentés sous la forme d'un diptyque ; ceux qui habitent ensemble ont été photographiés ensemble. Il est vraiment intéressant de comparer ces deux personnes dans le contexte de leur(s) maison(s).
Le Château d’Eau se trouve au bord de la Garonne au bout du Pont Neuf. Cette exposition peut-être vue jusqu’au 10 décembre 2006.
--Anna Cumbie, rédactrice


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