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<font color=#0000aa>'''Dickinson au FIPA'''</font>
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[[Image:FIPA H Kim.JPG|Photo par Heidi Kim]]
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:Quatres étudiantes du programme Dickinson ont accompagné une équipe d'étudiants de l'ESAV (Ecole Supérieure d'AudioVisuel de Toulouse) et de l'IEP à Biarritz. Sous la direction de Christine Decognier, elles ont collaboré à la rédaction de ''InfoFIPA'' (la gazette bilingue du festival).
:Le 23 janvier a commencé le 20e FIPA, le Festival International des Programmes Audiovisuels à Biarritz. Dans ce festival, 36 pays étaient représentés et 239 films projetés dans les catégories de fictions, documentaires de création et essais, musique et spectacles, programmes courts, séries et feuilletons, grands reportages et faits de société, situations de la création française et situations de la création européenne. Le festival a lieu au cœur de Biarritz dans six salles : le Casino Municipale, le Bellevue, le Colisée, le Cinéma le Royal, le Médiathèque, et la Gare du midi.  
:Le 23 janvier a commencé le 20e FIPA, le Festival International des Programmes Audiovisuels à Biarritz. Dans ce festival, 36 pays étaient représentés et 239 films projetés dans les catégories de fictions, documentaires de création et essais, musique et spectacles, programmes courts, séries et feuilletons, grands reportages et faits de société, situations de la création française et situations de la création européenne. Le festival a lieu au cœur de Biarritz dans six salles : le Casino Municipale, le Bellevue, le Colisée, le Cinéma le Royal, le Médiathèque, et la Gare du midi.  
:Cette année, quatre étudiantes de Dickinson en France ont participé à ce festival et à l’élaboration pendant une semaine intensive du journal InfoFipa. Ce quotidien est distribué chaque année pendant toute la durée du festival dans les salles de projections. En collaboration avec des étudiantes en journalisme du Masters 2 Journalisme de l’IEP Toulouse et des critiques, étudiants à l’ESAV (Ecole Supérieure de l’Audiovisuel) du Mirail, elles ont traduit les article de ces derniers en anglais.  
:Cette année, quatre étudiantes de Dickinson en France ont participé à ce festival et à l’élaboration pendant une semaine intensive du journal InfoFipa. Ce quotidien est distribué chaque année pendant toute la durée du festival dans les salles de projections. En collaboration avec des étudiantes en journalisme du Masters 2 Journalisme de l’IEP Toulouse et des critiques, étudiants à l’ESAV (Ecole Supérieure de l’Audiovisuel) du Mirail, elles ont traduit les article de ces derniers en anglais.  
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:La traduction des articles a permis aux étudiantes de Dickinson de se rendre compte du processus véritable de la traduction, qui n’est pas seulement une traduction mot à mot, mais un véritable travail d’écriture. Elles ont appris que traduire, veut dire bien comprendre les idées exprimées par l’auteur dans une langue étrangère mais aussi être capables de proposer une traduction dans leur langue maternelle qui soit fidèle au texte original. 
:La traduction des articles a permis aux étudiantes de Dickinson de se rendre compte du processus véritable de la traduction, qui n’est pas seulement une traduction mot à mot, mais un véritable travail d’écriture. Elles ont appris que traduire, veut dire bien comprendre les idées exprimées par l’auteur dans une langue étrangère mais aussi être capables de proposer une traduction dans leur langue maternelle qui soit fidèle au texte original. 
:Elles garderont toutes en mémoire le souvenir des soirées d’ouverture et de clôture du FIPA.
:Elles garderont toutes en mémoire le souvenir des soirées d’ouverture et de clôture du FIPA.
:Légende: Quatres étudiantes du programme Dickinson ont accompagné une équipe d'étudiants de l'ESAV (Ecole Supérieure d'AudioVisuel de Toulouse) et de l'IEP à Biarritz. Sous la direction de Christine Decognier, elles ont collaboré à la rédaction de ''InfoFIPA'' (la gazette bilingue du festival).
:::--Heidi Kim
:::--Heidi Kim



Revision as of 15:13, 14 February 2007

Bonjour et Au Revoir

Ce mois est très doux-amer pour le programme Dickinson. On souhaite bienvenue aux nouveaux étudiants qui arrivent et on anticipe l'excursion dans les Pyrénées avec eux. Cependant, il faut dire au revoir à ceux qui partent pour le deuxième semestre. On fait des gros bisous à Steve, Christina, et surtout à notre traductrice Stephanie. Merci à tous les trois pour leurs contributions au programme. Bon courage dans vos projets de deuxième semestre! Vous nous manquerez. Et aux nouveaux étudiants, au plaisir de faire vos connaissances.
--Anna Cumbie, rédactrice


Dickinson au FIPA Photo par Heidi Kim

Le 23 janvier a commencé le 20e FIPA, le Festival International des Programmes Audiovisuels à Biarritz. Dans ce festival, 36 pays étaient représentés et 239 films projetés dans les catégories de fictions, documentaires de création et essais, musique et spectacles, programmes courts, séries et feuilletons, grands reportages et faits de société, situations de la création française et situations de la création européenne. Le festival a lieu au cœur de Biarritz dans six salles : le Casino Municipale, le Bellevue, le Colisée, le Cinéma le Royal, le Médiathèque, et la Gare du midi.
Cette année, quatre étudiantes de Dickinson en France ont participé à ce festival et à l’élaboration pendant une semaine intensive du journal InfoFipa. Ce quotidien est distribué chaque année pendant toute la durée du festival dans les salles de projections. En collaboration avec des étudiantes en journalisme du Masters 2 Journalisme de l’IEP Toulouse et des critiques, étudiants à l’ESAV (Ecole Supérieure de l’Audiovisuel) du Mirail, elles ont traduit les article de ces derniers en anglais.
Tous les jours, du matin au soir, les apprentis journalistes étaient occupés à la rédaction de leurs articles (critiques des films, interviews brefs, « offs » du festival et coups de projecteur) qui couvraient les événements du festival. Bien qu’ils aient passé la plupart de la journée dans la salle de rédaction, les étudiants avaient suffisamment de temps pour profiter du festival, voir des films, assister aux entretiens et aux interviews avec des réalisateurs et rencontrer des cinéastes venus du monde entier.
La traduction des articles a permis aux étudiantes de Dickinson de se rendre compte du processus véritable de la traduction, qui n’est pas seulement une traduction mot à mot, mais un véritable travail d’écriture. Elles ont appris que traduire, veut dire bien comprendre les idées exprimées par l’auteur dans une langue étrangère mais aussi être capables de proposer une traduction dans leur langue maternelle qui soit fidèle au texte original.
Elles garderont toutes en mémoire le souvenir des soirées d’ouverture et de clôture du FIPA.
Légende: Quatres étudiantes du programme Dickinson ont accompagné une équipe d'étudiants de l'ESAV (Ecole Supérieure d'AudioVisuel de Toulouse) et de l'IEP à Biarritz. Sous la direction de Christine Decognier, elles ont collaboré à la rédaction de InfoFIPA (la gazette bilingue du festival).
--Heidi Kim


Enfin Toulouse

Les premiers pas dans une cité de la connaissance, de l’art et de la culture
Il était presque douze heures lorsque je quittai Carlisle et il faisait très beau pour une journée d’hiver. En fait le soleil, après s’être arraché de l’étreinte d’un sommeil assez long, se promenait majestueusement au fond de son royaume. Je lui souris et je partis. Un premier vol me prit au centre de la Pennsylvanie à Washington et puis un deuxième à Frankfurt.
Il était sept heures lorsque je touchai le sol allemand et le sommeil qui n’arrivait pas encore à apprécier le décalage horaire entre le pays de l’Oncle Sam et le vieux monde se mit à réclamer son tribut. Alors mes paupières s’alourdirent et mon corps s’affaiblit. Je résistai pourtant, tenace que j’étais, mais pas pour le longtemps. Je me mis donc à guetter les banquettes installées dans une salle d’attente de l’aéroport. Aussitôt que j’en vis une libre, je m’engouffrai dedans et m’étalai dessus, en chien de fusil. Le reste, je ne m’en souviens que très peu.
Quelques heures plus tard je me souvins que je n’étais pas encore au bout de ma péripétie, ou, dirai-je plutôt, de ma chasse au trésor. Je me retrouvai donc de nouveau entre terre et ciel, au-dessous des nuages que je contemplais à travers le hublot, d’un air bien rêveur. Ce serait cette fois-ci pour une durée beaucoup plus courte. En effet, au bout de deux heures d’horloge, j’étais enfin à Toulouse.
La Ville Rose, comme on l’a bien surnommée, m’accueillit avec toutes ses promesses en main. D’abord à l’aéroport, m’attendait ma famille ; ma maman d’accueil Chantal, ma sœur Joanna et son copain Renaud. Ah oui, personne ne voulait être en reste pour célébrer mon arrivée et gonfler ainsi mon engouement. En route envers la maison, mon regard oscillait entre ma famille d’accueil et les bâtiments qui se bousculaient tout au long du Canal de Midi, des modernes et d’autres de style roman. C’est d’ailleurs ce qui fait entre autres le charme de Toulouse, jadis capitale d’Aquitaine.
A la maison je me retrouvai dans une atmosphère bien détendue, une atmosphère qui n’a certainement rien à envier à celle de la famille au bercail. Ce qui m’a le plus touché c’est lorsque ma maman d’accueil m’a demandé, en fait m’a prié de l’appeler Chantal et en plus de la tutoyer. Cela me mit extrêmement à l’aise et ce fut donc le début d’une conversation à la fois copieuse et agréable.
Ce matin fut donc le début des journées d’orientation. La journée commença par une présentation du personnel et du programme en général. On en a profité pour faire un peu mieux la connaissance de Madame Toux, de Gersende et de Laura, sans l’effort combiné desquelles nous ne serions certainement pas ici. Ce fut ensuite un petit test de notre connaissance de la langue de Molière, des informations pratiques et puis une introduction à la cuisine française cela dans un petit restaurant local où ensemble, nous avons dégusté des omelettes au poisson et au poulet. Et pour clore le tout nous avons fait le tour du quartier du Pont des Demoiselles en compagnie de Anna Cumbie, une étudiante qui était là depuis Septembre, avant de faire deux pas au centre ville, à la chasse aux téléphones portables.
Cette journée bien mouvementée marqua donc le début d’une nouvelle expérience autrement dit, l’ouverture d’une nouvelle page dans la vie de tout un chacun, une page qui sera certainement parée de belles images tracées dans une encre indélébile.
--Moustapha Minte


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