Karen Kirner--Emile Zola

Un auteur plus avancé que les idées de son époque

Émile Zola est né 1840 à Paris et il meurt d’asphyxie 1902 dans son appartement parisien. Dans sa jeunesse, Zola travaillait à la librairie Hachette de 1862 à 1866. Après Zola a quitté la librairie Hachette, son premier foyer était l’écriture (Emile Zola). Il écrivait son premier roman, Thérèse Raquin, en 1867 (Désirat 5). En 1878, il a acheté sa maison et une année après il a commencé une liaison avec l’ancienne lingère de sa femme. Aussi à ce moment « il décide d’écrire une suite à son premier roman. Ça sera la série des Rougon-Macquart, histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second Empire » (Désirat 5). Il avait deux enfants avec sa maîtresse : une fille Denise née en 1889, et un fils Jacques né en 1891. Dans ses soixante-deux ans, il écrit plus de trente œuvres (Emile Zola). Zola s’efforçait d’obtenir un style naturaliste dans ses œuvres, parce qu’il a dit « je ne veux pas peindre la société contemporaine, mais une seule famille, en montrant le jeu de la race modifiée par les milieux. […] Ma grande affaire est d’être purement naturaliste, purement physiologiste » (Pujol). En plus du naturalisme, son style avait le réalisme aussi : « Zola ne décrit pas singularités individuelles, mais ce qui les enferme et les fabrique et les produit encore. Le naturalisme selon Zola est autre chose qu’un réalisme compromis. Il vise à trouver l’homme sous l’homme, et sous chacun de ses désirs, le monde entier qui rêve » (Pujol). Dans ses œuvres, Zola explorait non seulement les problèmes de la société, mais également les idées pour améliorer les situations. Cette approche était très importante de Zola, parce qu’il a dit « je n’ai qu’une passion, celle de la lumière, au nom de l’humanité qui a tant souffert et qui a droit au bonheur » (Cohen-Bacrie). Un exemple célèbre de son œuvre est la série des vingt romans dans les Rougon-Macquart (Emile Zola). « Chacune des œuvres des Rougon-Macquart, précédée d’une enquête détaillée, montre l’affrontement des forces naturelles, soumises aux circonstances et à l’environnement social, qui gouvernent le destin des personnages » (Emile Zola 2004). « La réception de [toute] l’œuvre de Zola a toujours été marquée par un divorce : accueil populaire chaleureux ; réticences, voire mépris, de la part des lecteurs bourgeois, mais surtout de la critique et des intellectuels. » Peut-être, c’est parce que « le public n’est pas habitué à une littérature aussi violente et réaliste » (Désirat 5). En dépit de la réception du public en son époque, les œuvres d’Émile Zola sont très célébrées aujourd’hui pour leur écriture et aussi leurs idées. Les buts de Zola dans son écriture étaient plus avancés que son temps, pour ces raisons, mais ils font ses œuvres magnifiques ! Bibliographie Cohen-Bacrie, Pierre. Emile Zola. 9 février 2002. 10 décembre 2005. http://pages.globetrotter.net/pcbcr/zola.html. Désirat, Pierre. « L’œuvre et son auteur. » Germinal. Paris : Hachette Livre, 2003. Emile Zola 1840-1902. 10 décembre 2005. http://emilezola.free.fr/menu.htm. Emile Zola (1840-1902). 2004. 10 décembre 2005. http://atheisme.free.fr/Biographies/Zola.htm. Pujol, Philippe. Émile Zola 1840-1902. 2001. 10 décembre 2005. http://www.zola.free.fr/main.htm.