La Une de mai

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  • Les activités du Centre Dickinson au mois du mai :

3 : réunion d’information au Centre à 17h30.

13 – 16 : excursion à La Rochelle et l’île de Ré. RV dans le hall de départ de la gare Matabiau à 12h30.

23 : 18h30 - Conférence « l’Antiaméricanisme » de Professeur Ceaser, University of Virginia Department of Political Science (en français). Au Centre.

24 : réception de fin d’année au Centre à 19h00.

31 : Opéra Médée, RV devant la Place du Capitole sous les drapeaux à 20h00


  • Evènement :

Forum de l’image

« Fort de ses 19 éditions, le Forum de l'Image s'impose à présent comme un événement fédérateur autour des arts visuels. Il explore largement la diversité de l'image contemporaine. Manifestation hors-normes, elle s'affirme comme véritable forum toulousain et régional. Quinze à vingt lieux s'approprient la thématique et offrent leur réflexion sous forme d'expositions, de projections, d'installations ou de performances. L'action de la manifestation ne s'arrête pas à l'agglomération toulousaine, soucieuse de permettre au public régional de participer à cette démarche. Elle associe des lieux culturels en région. Des navettes gratuites sont mises à disposition pour permettre au public toulousain de découvrir ces espaces.

La thème de 2005 : « Jusqu’ici tout va bien… »

Au départ il y a cette réalité. Vécue, observée, rêvée et, de temps en temps inventée. Optimiste, on la voit là, séduisante et entêtante. Et pessimiste, on va la sentir trop collante et encombrante. Et puis il y a ce territoire où l'artiste souhaite se l'approprier pour mieux la sonder, la filtrer, la tester, la tamiser, l'illuminer ou même en rire. Cette zone est instable. C'est celle de la quête de sens. Nombre d'œuvres témoignent alors avec des incertitudes absolues ou des convictions relatives, des observations détournées ou des intuitions affirmées, de cette réalité à laquelle l'artiste travaille. « Jusqu 'ici tout va bien ...» . A l'aune des fantasmes communs, une telle assertion semble aujourd'hui induire un inéluctable pessimisme. Car elle décrit ce doux moment avant la crise, le calme avant la tempête.

Et pourtant, nombreux sont les artistes utopistes ou observateurs, qui choisissent de dénoncer des visions éculées ou qui, par leur témoignage, procèdent d'un engagement singulièrement tourné vers l'avenir. Ranimer l'interrogation, susciter la question, oser parler des limites peut-être bien pour aller au delà de cette bonne vieille peur du lendemain; ne serait-ce pas là un des propos possible de l'art contemporain ? « Jusqu'ici tout va bien » sera traduit par les événements mis en place à l'occasion du festival. « Jusqu'ici tout va bien » est enfin un clin d'œil à tous ces lieux culturels qui font de leur territoire de travail un espace de friction avec le réel et d'expérimentation de soi. »

Du 17 au 27 mai à divers lieux sur Toulouse et la région toulousain. Consultez la programme disponible au foyer étudiant ou en ligne au http://www.forumdelimage.org/.


  • Musique :

Trois fois rien … d’histoire

« Trois fois rien est né en juillet 2003 de la rencontre de trois musiciens : Thomas Jimenez et Jean-Michel Briand, respectivement guitariste/chanteur et contrebassiste du groupe L’Air de Rien et Corinne Dubarry, accordéoniste/chanteuse du groupe Psyllium. Tout d’abord, c’est en tant qu’invité que Corinne rejoignit le groupe L’Air de Rien sur une douzaine de concerts. C’est du fait des réactions enthousiastes du public et du plaisir pris à faire sonner différemment les chansons du groupe, que les trois musiciens ont décidé de former un groupe à part entière. »

Le 19 et 20 mai au Bijou, 123 avenue de Muret. Tarif étudiant :8€. Réservations au 05.61.42.95.07


  • Evènement :

Le Marathon des Mots

« 200 événements en 4 jours, 160 lectures, spectacles, performances, 100 artistes et compagnies, 67 auteurs, 23 lieux, 20 apéros littéraires, 2 cartes blanches à la Cinémathèque de Toulouse, 1 ville et 1 seule passion : Toulouse et les mots. Le Marathon des mots est un projet artistique ambitieux, qui vise à toucher et renouveler la curiosité du plus grand nombre pour le texte, les mots, la littérature dans toutes ses formes et dans tous ses genres.

La lecture dans tous ses états :

Pendant toute la durée du Marathon des mots, culture et lecture deviennent l’occasion de se divertir, prennent la forme d’un spectacle vivant mis en scène dans toute la ville, transformée pour l’occasion en un immense terrain de mots, où public, acteurs et écrivains se côtoient en toute liberté lors de spectacles s’adressant aussi bien à une ou à cinq mille personnes. Aucune parole ne sera exclue de ces lectures : des textes de théâtre comme des romans, des nouvelles comme de la poésie, des sciences humaines comme des articles de journaux, des mots de tous les jours…

Un village des mots :

Le cœur de la ville sera, pendant trois jours un véritable « Village des mots » aménagé autour de la place du Capitole, dans lequel sera concentré l’essentiel des manifestations et des interventions de rue. Des podiums seront disposés sur des places publiques pour permettre à chacun de lire, raconter, dire, crier, clamer, chuchoter. Les rues seront rebaptisées de noms d’auteurs, des banques d’échange de livres seront installées, des textes seront lus dans les transports publics, des apéros littéraires seront organisés et deux soirées Slam accueilleront le public. »

Du 26 au 29 mai dans divers lieux. Consultez la programme disponible au foyer étudiant ou en ligne au www.lemarathondesmots.com.


  • Théâtre :

Electre de Sophocle

Mise en scène de Claude Bardouil

« Electre. Héritière d’une inéluctable monstruosité, elle attend le retour de son frère Oreste, le vengeur qui saura tuer de ses propres mains son beau-père et sa mère, assassins du Père. Ainsi le veut la loi des hommes et des Dieux. Cette pièce se tourne spécialement vers les femmes, porteuses de l’histoire de l’humanité. C’est donc l’histoire de la Vengeance, du Sacrifie, de l’Insoumission, de la Trahison. L’exploration de l’histoire d’une famille, du dénouement inextricable des liens du sang. Comment s’expriment ces liens, à quels silences nous contraignent-ils, à quels actes nous exhortent-ils ? Quelle place l’hérédité accorde-t-elle à la vengeance, à la lâcheté ? Autant de questions que Claude Bardouil creuse, avec son théâtre d’images et de chair, fait pour provoquer la réaction, presque l’identification. »

Du 6 au 14 mai au Théâtre Sorano (du mardi au jeudi à 20h00, vendredi et samedi à 21h00, dimanche à 16h00, les 13 et 14 mai à 19h00). Tarif étudiant : 8€. Réservations au 05.34.31.67.16.


  • Bon anniversaire à Michael, le 14 mai.


  • Cinéma :

L’Indochine au cinéma

Pour ce voyage en Extrême-Orient en mai, la Cinémathèque de Toulouse part dans deux directions : riches en paysages grandioses et en destins entrecroisés, les films de fiction romanesques tels l’Amant ou Indochine, brossent un portrait du pays sur fond de nostalgie d’un Empire perdu. D’autre part, plus réalistes sans forcément relever du genre documentaire, les films de guerre constituent le second corpus de cette programmation. Il est intéressant de savoir que la guerre d’Indochine, contrairement à celle d’Algérie par exemple, s’avère un événement sous-traité dans le cinéma français. Les films qui évoquent cette défaite française et exaltent la fraternité dans le conflit se révèlent en définitive rares. La Cinémathèque de Toulouse montrera néanmoins la plupart des longs-métrages existants sur le sujet à cette occasion.

Du 4 au 28 mai à la Cinémathèque de Toulouse. Consultez la programme au foyer étudiant pour une liste complète des films et des horaires. Tarif étudiant : 3,30€.