Caroline Kelly- La société coloniale des Révoltés de Saint-Domingue

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Caroline Kelly French 230-02 10 décembre 2005


La société coloniale des Révoltés de Saint-Domingue


En 1789, Haïti était délirant avec la possibilité d’une révolution. L’esclavage avait de l’importance, puisque la canne à sucre était l’exporte dominante. C’était le produit essential de l’Île, englobe toute l’économie. Il y avait aussi le rhum, le cacao, et les épices, mais le sucre est le grand-chose. Pourtant, tous les produits cultivaient par les esclavages. La hiérarchie sociale de l’Île garantissait le succès de la colonie, mais à un grand prix.


Au dessus de la pyramide sont les planteurs. Ils possédaient les plantations qui tous les produits sont poussées. Ils s’appelaient les « grands blancs ». Ils avaient beaucoup d’argent, la terre, et les esclavages. Le racisme de la société émanait d’ils. Ils croyaient qu’ils étaient meilleurs que les esclavages. Ils croyaient que les esclavages n’étaient pas les personnes ; qu’ils n’étaient que les possessions. Leurs positions dépendraient sûr leurs produits, et leurs produits dépendraient sûr leurs esclavages.


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Une étape dessous les planteurs étaient les commandeurs. Ils s’appelaient les « petits blancs » parce qu’ils avaient le prestige, mais pas la richesse. Ils patrouillaient Saint-Domingue, préservent la paix, et préservent l’ordre social. Ils étaient comme la police de l’Île. Ils avaient le respect des grands blancs, mais ils avaient les finances des autres. À cause de ceci, beaucoup de commandeurs étaient jaloux des planteurs. Il y avait aussi des soldats, qui étaient aussi comme les commandeurs.


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Puis, il y avait des mulâtres. Ils étaient les enfants d’un couple interracial. Ils pouvaient être libres, et possédaient des terres. Ils avaient juste assez d’argent être confortable, mais pas suffisant être riche comme les planteurs. Néanmoins, les planteurs ne les aimaient pas. Ils ne les avaient pas confiance en les mulâtres, et ils essayaient à adopter les lois qui s’emparaient la liberté des mulâtres. Cependant, les pluparts des mulâtres se regardaient comme meilleur que les esclavages. Quelque des mulâtres mêmes possédaient des esclavages.


Description

"A rich black is a mulatto, A poor mulatto is a black"


Finalement, il y avait les esclavages. Ils n’avaient pas les droits ou la liberté. Ils étaient mal traités, comme les animaux. Ils n’avaient pas la terre, ou n’avaient aucune des possessions. Ils étaient achetés et vendus, comme les marchandises. Ils travaillaient les champs de sucre à partir de l’aube jusqu’en déclinant. Ils habitaient dans les cabanes, avec beaucoup de trop personne. Ils étaient en haillons, avec des stigmates du fouet. Leurs vies étaient terribles, qui était pourquoi il y avait une révolution. Tout le monde mérite la justice et une bonne vie.


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Alors, les esclavages insurgeaient les planteurs et la société injuste. Les chefs comme Toussaint Louverture menaient les révoltés à la liberté. La guerre était très longue et très chère. Beaucoup des esclavages, des soldats, et des planteurs perdraient les vies. La hiérarchie sociale d’Haïti était la même structure pour beaucoup des autres pays, mais l’esclavage n’avait jamais tenu. Les gens ont besoin d’être libres, et la révolution d’Haïti est l’exemple parfait.


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Bibliographie

Knight, Franklin W. "The Haitian Revolution." The Afrocentric Experience. 10 DEC 2005 <http://www.swagga.com/haitian.htm>.

Solet, Bertrand. Les Revoltes de Saint-Domingue. France: Castor Poche Flammarion, 1999.